Vide-poche : une question de fond posée par Cécile Mainardi


Une fois n'est pas coutume, je reblogge direct de chez Christophe Bouvier (L’autre hidalgo) cette image-poème de Cécile Mainardi qui me met en joie…


3 commentaires:

  1. " Même sur une photo noir et blanc, on peut voir blond quelqu’un de blond, disait Wittgenstein, je rajouterais même mort, sur la tête de quelqu’un d’autre, qui se trouverait avoir ton allure quand il marche de dos, et la même texture de cheveux fins et souples que toi. Bruns ou châtains feraient l’affaire. Ta blondeur n’existe pas, c’est moi qui l’ai inventée pour la refléter dans le Tibre, c’est moi qui l’ai inventée pour que les choses aient un reflet, c’est moi qui l’ai inventée pour dire que le Tibre est blond. " Cécile Mainardi

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  2. Réponses
    1. Surtout merci Christophe ! (et aussi pour cette délicieuse évocation du Tibre blond)

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